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Par nobodyelse le 31 Juillet 2014 à 14:41
On ne se rend pas compte. On ne se rend compte de rien. Aveugler bêtement par la peur imbécile de paraître différent.
Alors on se tait, on ne se pose même pas la question. Qui reste sans réponse. Dévisage l'angoissante angoisse. Comme si ça paraissait évident. Oui c'est vrai, il n'y a même pas à réfléchir! Qui voudrait penser, une seule seconde, à ce genre de choses?
Personne. Personne ne répond. Parce que personne ne la pose vraiment. Cette foutue question.
Je ne suis ni heureuse, ni satisfaite. Je n'aurais pas aucun regret, comme je l'aurais voulu en mes dernières heures éternel. J'ai laisser trop de choses derrière moi, que je regrette déjà. Certaines rencontres ne m'ont aidée que dans un sens. D'autres sont aller dans plusieurs directions. Bénéfiques. Ou désolante amitié, comme on pourrait dire.
Qu'est ce que les autres diront? S'ils savaient l'imbécile différence qui me fait passer pour une idiote.
Rien n'est grave, tout est à réfléchir. On ne change jamais, on n'est juste influencés par les autres.
Le changement. Tant de changement, autant aujourd'hui que demain, je ne serais jamais la même. L'expérience changeante qui tangue entre moi et le subconscient m'empêche de guérir mes plaies profondes. Il n'y a pas de doutes, juste des certitudes incertaines.
Alors on cherche. Une solution. Une réponse à une question qui n'a jamais été posée.
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Par nobodyelse le 27 Juillet 2014 à 14:54
Her name is Noelle.
I have a dream about her, she rings my bell.
I got gym class in half in hour, oh how she rocks, in Keds and shoes socks.
But she doesn't know who i am, and she doesn't give a damn about, me.
'Cos i'm just a teenage dirtbag baby, i'm just a teenage dirtbag baby, like you.
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Par nobodyelse le 27 Juillet 2014 à 11:17
"Je veux ça."
On dirait une gamine qui fait un caprice à ses parents. Devant une vitrine, elle aurait choisie et aurait dit la même chose que je viens d'écrire. C'est ridicule.. n'est-ce pas?
On ne choisie pas un humain comme on choisie un jouet, il me semble.. Mais bon. Je sais pas vraiment comment ça marche, ce genre de situations ambiguë qui vous poussent à ne rien dire. A garder l'éternel secret d'une sensation profonde. Qui détruit, la plus part du temps.
Je ne sais qu'écrire. Cela fait maintenant bien trop longtemps que je garde toutes ces choses en moi.
Je m'embrouille les idées, les pensées, mes paroles.. Par quoi commencer? Non vraiment.. Je me retenais depuis si longtemps que savoir que maintenant là tout de suite je peux en parler librement.. ça me fait presque mal! On va faire comme si j'écrivais une lettre. Comme si je lui écrivais une lettre. J'aime bien ça, les lettres, la communication perdue. L'odeur de la feuille qui s'emmêle avec l'encre, c'est toujours agréable. Bon. Une lettre.
"Bonjour, ou.. Je sais pas vraiment comment je dois te parler. J'ai en même temps l'incroyable sensation de te connaître et l'affreuse désillusion de savoir pertinemment que tu ne connais de moi, absolument rien.
C'est tellement dur, de parler de ces choses là à un parfait inconnu de qui on connait tout. De qui on voudrait en savoir plus. Voilà, c'est ça que tu es pour moi. Un inconnu que je reconnaitrais facilement dans la rue. Quelqu'un, une personne, un humain.
Je t'aime.
Je me retiens, sans arrêt depuis bien trop longtemps. Voilà un quart d'heure que je choisis mes mots, mes ponctuations. Je dois me laisser aller.. j'en ai trop besoin.
Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime.
Désolé, j'aurais voulu que ses mots soient précieux, qu'ils ne soient pas trop utilisés. Impossible. Puisque ses mots, tu les entends à longueur de journée, à longueur de vie, tu ne fais qu'entendre ça. Tu t'en passerais presque. Mais je peux facilement jurer que ses trois mots, n'ont jamais été écrient avec autant d'intensité. J'en tremble.
Je n'avais d'abord pas remarquée. Toi, ton rire, les changements faits, tes pensées, tes mots, tes sourires incessants et toutes ces petites choses dont je me seraient bien passer.
Oui, je n'en voulais pas, de tout ça. Toutes ces sensations nouvelles, aussi agréable qu'étrange. L'horrible ressenti de quelque chose d'agréable. Doux. Tendre.
J'ai du mal à croire que c'est à moi que ça arrive. Ça ne se passe que dans les films ou les romans d'amour en général. Bien loin de moi l'idée que tout cela aurait pu me paraître réel.
Il y a.. comme un lien. Un truc. Un truc de magicien, à qui on demande comment il procède pour mettre autant de magie dans les yeux des enfants. Un vrai lien, invisible, autant dans ma tête que dans ta vie.
Un lien inexistant, qui persiste à exister.
Tout est étrange. Je suis, dans une bulle. Un cocon fait de rêves et d'incompréhensibles incompréhensions. Je me perds souvent, à l'entente de ton nom. Je ne sais plus vraiment ou j'habite, qui je suis et autres questions existentielles utilisées par les psys pour émettre un "diagnostic" qui sera le même pour l'adolescent prochain.
Je suis au chaud, sous un océan de frissons. Un ouragan de sensations. Une catastrophe agréable.
La douche froide au soleil. Je m'y sens bien, dans cette bulle. Mais je ne veux pas y rester, je ne veux plus.
Je veux que tu la fasses éclater. Déchire la, détruit la. Fais quelque chose, je t'en supplie.
Je ne veux plus m'imaginer, frissonnante dans tes bras. Je ne veux plus essayer de croire que quelque chose nous lient. Je veux ce vrai lien. Je veux frissonner dans tes bras. Parce que je suis fatiguée, de tout ça.
Je suis fatiguée, de me sentir seule.
Et de regretter à chaque beau moment de ma vie, que tu ne sois pas là, pour me dire touts ces mots que disent les personnes folles amoureuses. J'en deviens folle. Je me sens complétement folle.
Je suis accro. C'est dur d'écrire ça. Je suis accro.
De toi, ta personne, tes yeux. Ta bouche, tes cils et ton nez. Ton rire, ton sourire et tes pensées.
J'en suis malade.
Pourquoi est ce que je suis accro..? Parce que plus tu ne m'étais pas accessible, plus j'avais besoin de toi. Ton image ne se décrochant que le jour ou je serais morte et enterrée. J'avais tant besoin de toi, que ce besoin est devenu désir. Et que le désir suivrait une passion. Mais. Tu n'es pas la. Et.. j'ai beau me faire tout ces petits films dans mon grand imaginaire, tu n'as jamais été la.
C'est juste moi. Juste moi.
Et ce n'est que toi. Alors qu'est ce qui cloche chez moi? Je rougis. Les papillons d'été s'envolent. Je tremble et j'ai l'air d'une idiote. Tu es.. tellement.. tout.
Tout ce que j'avais décris au fil des années. Toutes les choses que j'aurais voulus entendre, ou voir.. Tu les avais dîtes, tu les avais faites.
Je ne comprends pas. Comment j'ai pu tomber amoureuse, sans m'en rendre compte."
Voilà. Mais je ne pense pas que j'aurais le temps de lui dire. Ou que j'aurais la chance qu'il lise mes mots.
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Par nobodyelse le 18 Juillet 2014 à 22:40
J'ai retrouver l'euphorie.
Mon euphorie que j'avais perdue. Je l'avais déchirer, je lui ai cracher dessus, et l'ai humilier de toute les façons possibles et inimaginables. Elle en a souffert, mais elle s'est toujours relever des épreuves que je lui fait subir sans cesse.
Bonjour euphorie, tu as fait une bonne nuit? Tu veux bien rester avec moi? S'il te plaît..
Ah.. elle s'est réveillée, je dois vous laisser, je dois m'occuper de mon Euphorie.
L'entretenir, pour qu'elle ne parte pas.. qu'elle ne parte plus jamais.
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Par nobodyelse le 18 Juillet 2014 à 15:17
"-Salut ça va?
-Oui merci, et toi ça va?"
Est ce que je vais bien? Je ne sais pas je.. je ne vais ni bien, ni mal finalement je suis neutre mais.. ça n'existe pas! On ne peut pas me demander si je vais bien pour que je réponde que je suis neutre! De quoi j'aurais l'air?
Je suis là, j'existe et après? Il va se passer quoi pour moi? Je mourrais comment? Lapider, maladie, vieillesse, tout est possible mais on ne peut pas savoir! Les gens qui aiment contrôler leur vie du tout au tout doivent être terriblement frustré.. C'est quand même tout une vie. C'est terriblement long, UNE vie, tout entier! On ne sait plus si on doit profiter, et être accidentellement tué d'une overdose de coke ou d'alcool ou vivre "normalement", faire attention à nos fréquentations et avoir une longue vie paisible, mais mortellement chiante.
Alors on se laisse vivre, on ne fait rien en particulier. Comme une plume, on se laisse emporter par la brise du matin, on s'envole si le vent le dit, et on atterrit lorsqu'il en a décidé. Je suis comme elle, je me laisse emporter, je me laisse vivre. Parce que je suis un peu perdu par toutes les possibilités, toutes les choses a faire ou pas, tout ces moments importants ou l'ont ne doit pas se tromper, faire le bon choix.
Je m'envole, parce que le vent en a décidé ainsi. Alors je ne sais pas, je.. je n'ai jamais su comment faire pour prendre mes propres initiatives, dire mes choses, mes phrases, pas celles qui s’empruntent dans les livres, et que je répète comme pour ressembler à tout ces héros d'enfance, qui ont une vie trépidante.
Je ne sais pas comment on fait pour vivre.
On nous apprend a lire, écrire, compter, parler, respecter les autres, on nous dit de faire telle choses ou pas a tel moment. Mais on vit sans arrêt, et ça on ne nous l'a jamais appris.
Est ce que je vais bien? Moi? Merde.. j'en sais rien.
"Oui." C'est plus simple.
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